Historique

Viromax

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Cette folle aventure apparaît dans leur tête en 1987 lorsque les deux frères Richer vivent encore chez leurs parents.  Jeunes adultes, Jacques et Jocelyn, regardent des vidéos clips à la télévision démontrant des exerciseurs de l’armée américaine et de l’armée russe.  C’est à cet instant que l’idée de génie illumine leur cerveau d’inventeur.

Les voilà déjà partis chez le ferrailleur à la recherche d’acier usagé et de vieilles pièces de camion telles que différentiel, jante, etc.  Après quelques semaines seulement, le montage du premier prototype se fait rapidement dans la fébrilité et l’enthousiasme.

Au moment où la super balançoire est prête, c’est le plus jeune des frères, Jocelyn, qui fait le premier test.  Le tout est sécurisé avec des clôtures et des immenses chambres à air autour de la cage de la balançoire.  Quelle expérience représente ce premier tour!  C’est de l’adrénaline à l’état pur.

Déjà la famille, les amis et tout le voisinage s’empressent de venir voir « la machine » dans la cour et assister au spectacle.  L’été suivant, la popularité de la balançoire est évidente :  le gazon est disparu suite au va-et-vient des participants et des spectateurs.

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Le début de l’aventure :  La sortie de la cour

Que de recherches et de labeur pour obtenir des assurances et rencontrer les normes de sécurité.  Il faut de la persévérance car tout le monde se lance la balle dans les ministères!  Les frères Richer, par leur détermination, franchissent toutes les étapes jusqu’à l’obtention de dessins d’ingénieurs.

Dix ans plus tard, en 1997, ils sortent de la cour avec une nouvelle balançoire complètement améliorée qu’ils nomment « VIROMAX ».  Ce nom veut tout dire! Le premier évènement majeur à lieu à l’automne 1997 au Festival de St-Tite.  Les organisateurs dont M. Gaétan L’Heureux, donne l’opportunité aux deux frères d’installer leur invention sur un terrain en location à l’école primaire du village.

Dès le début du festival, Jacques et Jocelyn, effectuent les démonstrations à répétition.  En venant vérifier si le tout fonctionne bien, M. L’Heureux, accepte de payer l’entrée à des jeunes de l’école pour qu’ils puissent essayer la balançoire.  Trente minutes plus tard, l’aventure « VIROMAX » prend son envol.  La foule curieuse s’accentue sans cesse et l’attente pour vivre la sensation est de plus d’une heure et demie.  Mission accomplie : les frères Richer ont transmis leur passion.

L’aventure se poursuit :  L’adrénaline

« VIROMAX » devient rapidement, durant les saisons 1999-2000, une entreprise jeune et dynamique avec une dizaine d’employés tous aussi passionnés de la balançoire.   Un deuxième prototype voit le jour encore plus perfectionné.

Après le Festival de St-Tite, les balançoires participent à plusieurs festivals au Québec en plus d’une apparition à la populaire émission de télévision Le Point J.  Valérie-Anne Giscard D’Estaing, présente à l’émission et éditrice du livre des inventions du monde, tombe sous le charme de la « VIROMAX ».  Elle fait paraître, en deuxième page dans l’édition 2000 de ce livre, une demi-page de texte incluant des photos décrivant bien la balançoire au lieu des 2 pouces carrés d’espace habituel.

Il s’agit de tout un cadeau pour la jeune entreprise, ce qui la propulse plus loin dans l’aventure! En juin 2000, les propriétaires de « VIROMAX » sont invités au premier Salon des Inventions du  Québec à Montréal qui est dirigé par M. Daniel Paquette de l’Inventarium.  Les frères

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Richer vivent une fin de semaine de rêve tout en partageant leur passion.  Lors de la clôture du salon, ils sont convoqués à la remise des prix d’honneur.  Jocelyn y assiste tandis que son frère demeure à l’extérieur pour démonter la balançoire.

À la grande surprise, les organisateurs nomment les gagnants du prix du public qui va à Jocelyn et Jacques Richer de « VIROMAX ».  Jocelyn, sous le choc, court à l’extérieur avec le trophée et dit à son frère :  Hé, le frère, c’est nous qui avons gagné le prix du public, regarde!!!  Et la folle aventure continue…

Parallèlement à tout ça, un autre évènement majeur promouvoit les balançoires.  La dernière Tournée Players 2000 offre un contrat à gros budget pour accompagner les courses Formule Indi.  Cette tournée promène les deux VIROMAX de ville en ville: Québec, Montréal et Toronto.  Une autre belle opportunité pleine de sensations, de belles rencontres et de beaux souvenirs.

L’aventure se poursuit :  Le summum et l’ajustement

La saison 2001 se continue avec la tournée des festivals du Québec, du nord au sud, de l’est à l’ouest.  Les balançoires roulent à fond et leur popularité s’accroisse auprès d’une clientèle

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très variée.

Pour terminer l’année en beauté, le festival des couleurs de Tremblant et du Mont Ste-Anne font virer au maximum les deux balançoires à la fois à chaque emplacement au sommet des montagnes : c’est le summum!

En décembre 2001, un dur coup survient pour l’entreprise et le plus jeune des frères.  Le décès de Jacques laisse Jocelyn dans le deuil et seul dans l’aventure.  Quelques festivals sont à l’horaire pour la saison 2002 pour terminer l’aventure où elle avait commencé au Festival de St-Tite…  

L’aventure en réflexion

De l’année 2003 à l’année 2010, la deuxième balançoire demeure dans la cour et l’autre est désassemblée.  Seules les fêtes privées font parties de l’horaire.

Les différents festivals et organisations ne cessent de communiquer avec Jocelyn pour obtenir les services de « VIROMAX » mais le cœur et la tête sont tournés vers autres choses.  Sûrement pour se changer les idées, qui sait!

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La renaissance de l’aventure

Les années passent mais à l’été 2010, la piqure et le goût de cette belle aventure refont surface dans l’esprit de Jocelyn.  Et cette fois-ci, d’une manière encore plus électrisante.  Un nouvel actionnaire fait son apparition et le travail reprend avec motivation dans le nouveau contexte technologique d’aujourd’hui.

En 2011, les actionnaires prennent la décision de refaire une beauté à la balançoire « VIROMAX» et de lui ouvrir de nouveaux horizons.  Quelques investissements permettent la progression de l’invention comme par exemple de nouveaux plans de prototypes transformables et la confection d’équipements améliorés tout en revoyant les critères de sécurité.  La vocation de la balançoire évolue davantage vers des projets spéciaux.

Le site internet vous tiendra au courant des nouveautés et des développements à venir.

Ouvrez l’oeil «Viromax» est de retour !